En ce premier jour du jubilé de l’an 2025, en ma qualité de prêtre, prophète et roi, et par l’autorité de Notre Seigneur Jésus-Christ, je fulmine l’excommunication latæ sententiæ frappant Monseigneur Jorge Mario Bergoglio, surnommé également «pape François», pour les motifs suivants :
- Restriction du Royaume de Dieu aux seuls possesseurs de smartphones et de QR Code.
- Vente du fruit des indulgences de l’année jubilaire à Big Data en lieu et place des fidèles catholiques.
Explication : Durant les années saintes, et depuis la première célébration du jubilé à Rome en l’an de grâce 1300 par suite d’impossibilité des fidèles à rejoindre Jérusalem, seules 5 conditions ont toujours donné droit à l’indulgence plénière, à savoir :
- Le renoncement résolu au péché.
- La prière en union avec le Saint-Père
- La réception du sacrement de pénitence dans la confession
- La participation à la sainte messe et réception de la communion
- Le franchissement d’une Porte Sainte
Cinq conditions auxquelles celui qui fait office de pape ajoute pour la première fois de l’histoire de l’Église Universelle bimillénaire :
- L’inscription en ligne, l’exigence de données personnelles, et l’obligation de présenter un QR Code, sans lequel il ne sera pas possible d’accéder à la Porte Sainte, et donc de recevoir l’indulgence qui est le but même de l’année jubilaire à l’issue du pèlerinage à Rome.
Étant baptisé catholique, fervent dans la prière du Rosaire, l’Éternel m’informe que j’ai droit à une indulgence même sans smartphone car je n’en ai jamais eu, et Lui non plus d’ailleurs, tandis que celui qui se prétend Son porte-parole me la dénie ? Je me vois ainsi dans l’obligation d’excommunier, de retrancher de la communauté des croyants ce personnage, cause de scandale auprès des fidèles. L’excommunication s’étendra à tout autre ecclésiastique qui prétendra défendre pareille mesure limitant la miséricorde Divine sous n’importe quel prétexte.
Dès lors, selon le canon 996 § 1, l'âme de l'excommunié est immédiatement frappée par la perte de la protection spirituelle de l'Église. Les grâces, faveurs et bénédiction attachées à la protection spirituelle de l'Église et de la communion des Saints sont d'office entachées de nullité et d'entrave à leur réception puisque l'âme devient totalement hermétique à toutes les formes d'indulgences.
D’autre part, selon le canon 1331, l'excommunié se voit interdit de célébrer et recevoir les sacrements et sacramentaux, ni remplir des offices ecclésiastiques, ministères et charges, ni poser des actes de gouvernement. Du fait de son élection au siège de Pierre, l’excommunié est déposé et le siège est déclaré vacant dès ce jour.
Ainsi fait par l’autorité d’un seul baptisé auprès duquel Notre Seigneur transfert le Pouvoir spirituel par suite de la décadence et incapacité du collège cardinalice à déposer cet individu, qui a rendu manifeste aux yeux des croyants sa propre indignité à la succession de Pierre en proposant à la vénération des fidèles une idole sur la tombe même du prince des apôtres : la Pachamama, nouveau veau d’or de l’écologisme. Pour rappel : 1 Cor. 14, Ainsi, mes biens aimés, fuyez le culte des idoles. 20, mais je dis que les sacrifices des païens sont offerts aux démons et non à Dieu.
Compte tenu de l’imminence des Temps, en lieu et place de Porte Sainte et pèlerinage à Rome, Le Dieu Trine, Père, Fils et Saint Esprit, du haut de son infinie miséricorde, prodiguera une indulgence pleine et entière à toute personne qui déposera ses péchés avec contrition devant le Saint Sacrement, muni de la ferme résolution de s’amender, ainsi qu’offrir la prière d’un rosaire ou d’un chemin de croix pour le Salut des âmes du purgatoire, en union spirituelle avec moi.
Ainsi fait à Riacho Fundo, Bahia, Brésil, le jour de la Saint Sylvestre de l’année jubilaire 2025.
David Pierre, romain d’âme et de cœur.
Résolution du problème pratique pour le canon de la messe => idem que dans tous les autres cas de Sede Vacante : le nom du Saint-Père ainsi que toute la phrase qui fait référence au pape, doit être retiré de la Prière eucharistique durant la période du Siège vacant. Seuls l’évêque local et tout le clergé doivent y figurer selon la forme littéraire de chaque prière. Par exemple, la prière eucharistique dirait : « en union avec … notre Évêque N., et tout le clergé ». Dans le diocèse de Rome : "en union avec …. tout le clergé"
Voilà, il fallait bien que quelqu'un le fasse, j'aurai préféré que ce soit un autre, mais après beaucoup de patience, de prières et de souffrances, c'est réglé !